In
Is Out nous parle d'infini
à
travers ses 260 g de matière curviligne.
Mes
mains, imperceptiblement,
en
ont pris la forme et le rythme
et
je me suis abandonné
à
cette continuité.
Il aurait pu s'agir d'un travail sans fin
à
la logique inexorable :
l'enlèvement
progressif de TOUTE la matière.
Mais soudain, mon geste s'est figé.
Et
s'est imposée la certitude qu'il était temps
de
rejoindre ma place dans la Corporation Humaine :
un microcosme était
dans ma main.